Festival L'Ouïe cyclette #3

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La troisième édition de notre festival L'Ouïe cyclette aura lieu du 21 septembre au 25 octobre 2025 entre Pantin et Le Havre, en passant par Rouen, Ry et Gravigny.

Le vélo, ce n'est pas que quand il fait beau ! Venez au concert à bicyclette !

 

 

dimanche 21 septembre de 11H00 à 17h00

Ville de Pantin (93) 

 

    A :  à 11h00 devant les "Bécanes d'Antoine" : café et concert  avec Patrick Fournier à l'accordéon en solo

 

 

    B:  à midi Théâtre du fil de l'eau :  activité cyclomamusante  course de lenteur et improvisation musicale avec " la petite reine " de Montreuil.

    C : à 13h00  la Cantine du Pas si Loin : brunch cycliste avec l'Orphéon des Guidons et les Oulipiens de Pantin

    D : à 14h00 devant les Sheds / Parc Diderot  activité cyclomamusante  / Solo de Damien Thonnard à la guitare + Irina Solodkova 

 

    E : Parc des Courtillières 

        à 15h15 critérium cyclo-musical, venez avec sifflets, sonettes, airs à chanter, instruments sonores bidouillés.

        à 16h00 l'Orphéon des Guidons + Irina Solodkova 

      

 

 à Rouen , samedi 4 octobre

 

15h00  Porte 10, Espace culturel du CHU de Rouen

1 rue de Germont

 

Smoking Mouse 

 

Duo Christophe Girard et Anthonny Caillet

Christophe Girard  accordéon, compositions

Anthony Caillet  flugabone, euphonium

Smoking Mouse, est un voyage, une musique créant images et formes tendant à s’affirmer, se diluer, se transformer. C’est l’évocation d’un chant de la terre, un regard sur la simplicité et la complexité du monde.

Le duo Smoking Mouse fait partie des formations émergentes du Jazz Français. Anthony Caillet (Euphonium et Flugabone) et Christophe Girard (Accordéon) ont fondé ce groupe en 2011 et joué dans de nombreuses salles et festivals en France et en Europe (D’Jazz Nevers, Ystad Sweden Jazz Festival, Saveurs Jazz Festival, Biennale de Jazz du Centre des Bords de Marne, Surgères Brass Festival…)

Cette formation atypique nous surprend par son agilité, son développement sonore quasi orchestral et son timbre. L’écriture et l’improvisation se mêlent jusqu’à ne plus les distinguer, au service d’une histoire, d’une sensation.

Après leur premier album Nebula paru chez Klarthe (distribué par Harmonia Mundi), Smoking Mouse propose Terracotta, leur nouvel album à paraître chez Babil.

 

16H30  randonnée vélo/bus vers le centre André Malraux

 

Avec l'association Sabine. Départ du CHU de Rouen, rue de Germont.

en partenariat avec la Métropole Rouen Normandie et Transdev.

18h00   Dalle de la Grand'Mare, Centre André-Malraux 

 

l'Orphéon des Guidons 

Cléa Toralès saxophones

Julien Eil saxophones

Florent Mannevau saxophones

Denis Charolles trombone  

 

19h00  Centre André Malraux 

Duo pas sage

 

 

Duo Kamilya Jubran / Sarah Murcia 

Kamilya Jubran et Sarah Murcia construisent depuis 1998 des ponts, entre deux cultures, deux traditions musicales dont elles explorent les limites avec joie, entêtement et réussite.

— Kamilya, Sarah te décrit comme comme sa sœur de musique, l'expression est assez jolie.
— Kamilya Jubran : Notre affinité remonte à plus que 20 ans maintenant, à 1998. Je jouais avec Sabreen, un groupe palestinien basé à Jérusalem. On préparait un album et Said Murad, le fondateur et compositeur, avait envie d’un petit orchestre. Quelqu'un me passe le numéro de Sarah qui a tout de suite accepté sans en savoir plus. C'était une vraie rencontre. Ce n’est pas seulement une sororité, il y a beaucoup plus de choses en jeu entre nous, aujourd'hui. Il y a cette confiance, cette curiosité de l'une envers l'autre. Pourquoi fait-elle cette musique ? Comment ? Quelle est la pensée derrière la musique ? On ne vient pas de la même histoire musicale, mais on a un présent partagé qui nous amène à écrire une musique autrement. Une musique qui nous appartient, pas seulement une fusion de choses simples.

— D’aucuns imaginent cela dans la réunion d’une musicienne occidentale et musicienne proche-orientale.
— KJ : Tout à fait. C'est pour ça que ça prend du temps.
— Sarah Murcia : L’autre jour, Kamilya a dit : « ce qui nous rapproche aussi, c'est qu'on aime bien se prendre le chou. » On se prend la tête, quoi. Dans la musique, pas entre nous. (Rires) On aime bien avoir un os à ronger. La complexité, c'est une façon pour nous de démêler des petites énigmes, ensemble, et puis d'en faire de la musique.
— KJ : Je viens de la pop, de l’école de musique classique du Proche-Orient. Je me suis jetée dans cette aventure d'une chanson palestinienne « moderne », quand j’ai rencontré Sarah, j’avais envie de comprendre comment faire. Ça nous a pris du temps d’apprendre les gammes à transposition limitée, la part des rythmiques, comment marche la ligne horizontale de l'écriture arabe. Sarah a insisté pour apprendre tout cela et on a commencé à parler de micro-tonalité, à trouver des croisements entre pensée mélodique et pensée harmonique.

— Souvent les formations avec une grande longévité tendent à aller vers l’épure. En vous écoutant, on peut avoir l'impression de l'inverse.
— SM : Il n'y a rien de pire que la musique compliquée qui sonne compliquée.  C'est vrai qu'on ne verse pas dans l’épure, surtout dans le nouveau disque, mais il ne faut pas effrayer les gens en les laissant croire que notre musique est complètement cérébrale. C’est quelque chose de très structuré, de complexe, et d’amusant, qui nous permet de voir ce qu’on peut créer dans un espace donné. Comment on peut arriver à le penser de façon plus large, un peu différente avec des couleurs à la fois familière et inhabituelles, de la polyrythmie et des modalités différentes.

— Vous êtes deux femmes et de deux cultures différentes. Que gardez-vous de cette équation ?
— SM : Moi, j'apprends à parler l’arabe.
— KJ : Et moi j'apprends des blagues en français. (Rires) Le hasard a fait que nous sommes deux femmes, musiciennes et compositrices qui jouent d’instruments dits « masculins » avec richesse et singularité.
— SM : On est amies aussi, ça compte beaucoup.

— Vous jouez de deux instruments à cordes. Comment se complètent-ils ?
— SM : La contrebasse, c'est juste une sixte en-dessous du Oud. Les timbres sont proches. C’est intéressant d’être dans le même registre parce que parfois on a du mal à démêler qui joue quoi. Kamilya joue le Oud comme personne…

— KJ : … Et d'ailleurs souvent verticale, je joue en accords.
— SM : Son jeu est aussi expérimental. Moi je crois jouer de façon plus classique.
— KJ : Je pense que la modernité de Sarah est dans ce qu'on entend de ses compositions. Sa contrebasse m'a encouragée à aller vers mon propre style de jeu, alors que j'ai grandi avec le Oud classique.

— Le mot est aussi très présent pour chacune dans ce duo.
— KJ : Pour moi, la chanson est une pensée musicale. C’est la musique qui guide mes chansons, mais le texte crée un élément supplémentaire dans leur construction. Je chante en arabe, avec un champ ouvert à explorer. Les syllabes ont une rythmique fixe dont je peux décider d’étirer la longueur et ça, ça veut dire écriture musicale. On s'amuse avec ça.
— SM : J’ai appris à parler arabe mais je perds très vite, n'ayant pas le temps de pratiquer. Je n'ai donc pas de lien direct avec le récit. Mais la scansion, la voix, avec ce que ça suggère de rythmicité m’intéresse et finit surtout par m’émouvoir.

— Dans votre duo, on peut noter une sorte de rage, intime, non ?
— SM: Je ne sais pas pourquoi, mais Kamilya et moi, dans notre musique il y a quelque chose de… Sombre, de pas léger. C'est une histoire de caractère. Évidemment, on ne vient pas du même endroit…
— KJ : Toi aussi, tu es une rebelle, mais autrement.
— SM : Deux mauvaises élèves, quoi.

Entretien réalisé par Guillaume Malvoisin

 

 

Dimanche 12 octobre à 16h00 - L'Atelier d'A, Gravigny (27)

 

Solo par Damien THONNARD à la guitare

Le guitariste électrique Damien Thonnard présente son nouveau projet solo, un hommage à tous les musiciens qui l’ont marqué, de Jim Hall à Pierre Van Dormael en passant par Bill Frisell. En revisitant leurs compositions, il les réinvente et fait de chacune un point de départ pour improviser dans l’instant.
Ce projet intime mêle mémoire et immédiateté : chaque morceau devient un terrain d’exploration où se croisent respect des maîtres et liberté d’improvisation, offrant à l’auditeur un espace pour écouter, ressentir et se laisser surprendre.

 

 

Solo par Xavière FERTIN à la clarinette 

J'aime le son. Granitique, lisse, rugueux, acide, transparent, explosif, brûlant, aqueux, fluide, statique, extatique, poreux. J'aime ce son en perpétuel mouvement, grouillant, visible ou invisible, imposant ou silencieux. Je me vide de ce son. Ce son qui est en moi et qui jaillit de mon corps par nécessité. Nécessité de vibrer, de s'entrechoquer, d'exister, de crier, de tout donner. Je suis son.

 

 

Samedi 25 octobre - Pied Nu au Fort de Tourneville, LE HAVRE (76)  

18h00

Solo de Frédéric STOCHL  contrebassse voix

 

 

Vous fêterez en 2005 vos vingt-cinq ans à l’Ensemble intercontemporain. Quel regard jetez-vous sur ce temps écoulé, qui ramène presque à sa date de naissance ?
J’y suis rentré alors que je pratiquais aussi la danse. L’Ensemble et moi étions jeunes, et nous devions inventer notre histoire ; la présence de Pierre Boulez, la nature même du répertoire, m’attiraient. C’était l’époque de la frénésie de l’expérimentation, du plaisir de la découverte, avec leurs avantages et leurs inconvénients. J’y ai participé avec enthousiasme, parfois aussi avec réticence, et non sans contradictions. Ensuite, j’ai parfois été tenté de prendre le large, considérant que j’avais fait le tour des principes présidant au fonctionnement de l’Ensemble. Divers événements personnels m’ont poussé à y renoncer. Après tout, la contrebasse n’autorise pas le même degré de carrière soliste que d’autres instruments… et jouer dans un orchestre symphonique dépassait mes capacités caractérielles ! Bien des choix sont souvent affaire de compromis ; je me suis donc adapté aux évolutions des enjeux par phases successives, en appréciant l’Ensemble pour ce qu’il était et m’apportait, sans lui demander ce qu’il ne pouvait me donner. J’ai toujours privilégié un développement personnel qui passe par plusieurs voies. Ce questionnement s’est d’ailleurs posé à plusieurs musiciens, même s’ils avaient une formation beaucoup plus essentiellement classique que la mienne. Par exemple, Pierre Strauch (violoncelliste à l’Ensemble), a su équilibrer le développement remarquable de son travail de compositeur avec son activité de musicien.
 

Mais vous composez également ? Vous avez créé en juin dernier Plötzlich ! pour contrebasse solo…
Je me considère plus comme un musicien qui écrit. Sans le sacraliser, le mot « compositeur » définit un métier dont je mesure les difficultés et les exigences. Ce n’est pas le mien, même si j’en maîtrise certains rudiments. Écrire me permet entre autres de formaliser des éléments que je souhaite communiquer à d’autres, intéressés eux aussi par un élargissement des possibilités de l’instrument. Ainsi mes travaux sont donc des études, des exercices d’invention. Écrire m’oblige à choisir, alors que dans l’improvisation, je prends ce qui advient, et « joue » avec.
 

Pour user d’un mot à la mode, vos compositions remplissent donc des espaces interstitiels entre les territoires plus connus et balisés, où chacun se retrouve ?
(Sourire) On peut le dire comme ça ! C’est aussi un moyen de faire évoluer mon travail de musicien interprète, en le renouvelant. D’une façon générale, je ne sépare pas la technique instrumentale de la musique qui la nécessite.
 
Votre formule selon laquelle « l’archet arrache, en attaquant, un magma de bruits et de sons mélangés » est très évocatrice…
Dans un texte intitulé « Le grand violon », Henri Michaux parle d’un « amas de tonnerres nasillards ». C’est tout à fait ça ! La difficulté majeure de la contrebasse réside dans l’émission du son. Elle fait aussi tout son intérêt, parce qu’on a vraiment le temps d’en vivre l’apparition, sans parler de la longueur de la résonance. Ce n’est pas un instrument « propre », dont le son apparaît et disparaît avec netteté, comme Boulez les aime tant. Le mot « Plötzlich » [Soudain, tout à coup] donne un équivalent vocal d’une attaque brusquée dans le registre grave de la contrebasse, à l’archet. Si l’on veut bien l’écouter, quelle richesse sonore !
 

La recherche d’un phrasé romantique n’est pas la préoccupation première dans le répertoire contemporain…
Non, mais il propose bien d’autres jeux, appelle à disposer d’autres ressources, suscite parfois d’autres joies. Il faut trouver la disposition qui nous met réellement au service d’une partition, et parfois certains modes de jeu – plus largement, certains modes de sensibilité – ne me correspondent pas. On fait tout son possible… et parfois on n’y arrive pas. Je travaille souvent en improvisateur à partir d’une cellule tirée de la partition, même d’ensemble, même si le résultat risque d’être noyé dans le son collectif, et cette exploration s’est avérée riche de découvertes applicables au jeu en solo, à la musique de chambre, et stimule mes inventions personnelles.
Dans la collaboration avec les compositeurs, l’idéal pour moi est qu’ils me soumettent des fragments, des figures, des gestes sur lesquels je puisse travailler et réagir, afin qu’ils puissent mieux définir, préciser voire enrichir leur projet. C’est très difficile : la logique, les sensations et surtout le temps du compositeur ne sont pas ceux de l’interprète…
 

Rencontrez-vous des impossibilités ? Y a-t-il des choses injouables ?
Évidemment ! Mais il faut préciser un peu. Par exemple, l’écriture de Brian Ferneyhough est très complexe, mais il ne s’est jamais fixé pour but d’être injouable. Dans ce cas, l’enjeu est de disposer graduellement de la partition et d’en donner presque à chaque fois une version forcément un peu différente, et donc toujours renouvelée. L’exercice d’interprétation devient alors un passage obligé, et très exaltant. Dans d’autres cas, les demandes de vitesse sont telles que, dans le registre grave, les notes ne peuvent simplement pas sortir, et pas seulement à la contrebasse ! Le phénomène d’inertie est inévitable ; on peut jouer avec pour voir ce que cela donne, mais le systématiser en tue à la fois le sens et l’intérêt. On peut par contre écrire pour provoquer des événements qui échappent à toute notation. Elle ne rend pas toujours compte de ce que certains compositeurs cherchent à exprimer. Parfois, au début du travail sur une pièce difficile, je ne joue guère qu’une note sur deux, et j’entends le compositeur me dire « C’est tout à fait ça, n’en fais pas plus ! ». C’est intenable et malgré tout assez juste : il n’aurait pas obtenu ce résultat s’il n’avait pas compliqué les choses. Situation inconfortable, où l’interprète est en position de cobaye…
 
Quels compositeurs ont su vous laisser cet espace de liberté et d’appréciation, compte tenu des contraintes de la contrebasse ?
Spontanément, je pense à des moments dans des œuvres diverses, plus qu’à un compositeur en particulier. Ma formation comme la plupart des instrumentistes m’incite à préférer que la partition m’indique un résultat souhaité et me laisse le choix des moyens pour y parvenir. Mais quelquefois le projet du compositeur est justement de prescrire et de contrôler les moyens qui dans bien des cas sont inséparables du « résultat », du geste musical composé.
 
Permettez-moi de revenir à votre formation parallèle de danseur

 je m’amuse de l’opposition apparente entre un art qui tente de se libérer de l’attraction terrestre et cette contrebasse qui est l’instrument des profondeurs…
On rejoint là la confrontation entre le désir d’immédiateté dans l’acte et la réticence opposée par l’instrument. Ceci dit, je pense que la danse est un jeu avec la pesanteur plus qu’une tentative de s’en libérer. Quant à la contrebasse, je la ressens souvent comme un instrument aérien, « venteux » nuageux, alors qu’elle peut évoquer pour d’autres la pesanteur terrestre, dans ses fonctions de basse bien sûr…
 

Il me semble finalement que la face cachée des choses vous aiguillonne en toutes circonstances ?
Oui, ou peut-être l’étonnement au moment de leur apparition, et de leur disparition. Chercher ce qui est à la fois intime et infime et échappe à toute description.
 
Propos recueillis par Rémy Louis

 

 

 

  

 

Solo de Laure FISCHER saxophone 

 

La Mulhousienne Laure Fischer n’a pas encore trente ans mais s’affirme d’ores et déjà comme l’une des valeurs sûres de la jeune scène musicale créative alsacienne. Tombée toute petite dans la marmite épicée des musiques improvisées, elle n’a cessé d’élargir ses horizons en accumulant les rencontres aux confins de l’afro-beat et du free jazz, s’enhardissant même dans des projets transversaux du côté de la danse ou du cirque musical. C’est son amour et la parfaite maîtrise du saxophone dans tous ses états qu’elle met en jeu et en scène dans ce remarquable spectacle solo. Ajoutant à sa panoplie d’instruments, des pédales d’effets, une flûte en bambou et un jeu de cloches oniriques, elle nous embarque dans un voyage introspectif aux humeurs vagabondes, surprenantes et volontiers paroxystiques dessinant les contours d’un univers vraiment original.

 

Dimanche 26 octobre - salle des fêtes, RY (76)

14h30 Duo " Griffure"

avec Amaryllis BILLET violon, chant , vielle à roue et effets électroniques

Léonore GROLLEMUND violoncelle, chant et effets électroniques

 

Rando vélo Buchy-Ry aller-retour avec l'UCB. Départ à 13H de la mairie de Buchy.

10 € plein tarif / 7 € TR / 5 € enfants et partcipants à la randonnée

en partenariat avec l'ASCRDG

 

Le duo Griffure est né sous sa forme «officielle» il y a longtemps ponctuellement pour différents festivals ( L’Abeille Beugle, Le Zaye, Écouter Pour l’Instant, Le Magic Madou, Les Nuits d’Été…) autour de compositions et d’improvisations qui se développent sans cesse. Le duo dessine une écriture entre les musiques orientales et contemporaines.

Par les expérimentations de traitement du son, l’utilisation de la voix et l’instrumentarium à la fois ancien et moderne se crée un trait d’union entre plusieurs univers. Les compositions originales mettent en miroir nos influences de Stockhausen à Viorica de la Clejani.

 

Tic Tac Pouf

Par les expérimentations de traitement du son, l’utilisation de la voix et l’instrumentarium à la fois ancien et moderne se crée un trait d’union entre plusieurs univers. Les compositions originales mettent en miroir nos influences de Stockhausen à Viorica de la Clejani.

 

What?

Intriguées par les cheminements de la pensée et de leurs répercussions sur les corps et le monde physique, la musique que nous cherchons à faire entendre se situe dans les tréfonds de l’inconscient personnel et collectif.

How ?

Par le vecteur de la voix, se défriche un travail sur les mots, sur les sons articulés, qui peut aller du sens au non-sens, du récit à l’absurde.

 

 
   

archives L'Ouïe cyclette #1 / 2023

archives L'Ouïe cyclette #2 / 2024

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