On écoute un peu de musique ?
Les 25 ans c'est aussi la réalisation du nouveau disque "Orange Sockets" tout fraîchement enregistré les 2, 3 et 4 aout 2020 à La Maladrerie Saint Lazare à Beauvais en partenariat avec le Théâtre du Beauvaisis Scène Nationale.
C'est sous l'oreille sensible d'Arnaud Houpert pour la société U-Fly et les fabuleux micros numériques Neumann que nous avons eu la chance d' enregistrer. l'album paraîtra en format cd et HD 24 bits.
l'acoustique si accueillante de la Maladrerie Saint Lazare nous a permis de jouer une musique très libre, complètement acoustique
avec beaucoup de dynamique.
ce sera un album marquant au catalogue des Musiques à Ouïr.
vous pouvez d'ores et déja contribuer à sa réalisation en le commandant en ligne ICI
Radio Bal : la radio des musiques à ouïr pendant le COVID ( 13 émissions entre le 11 mai et le 27 juillet 2020 )
Radio Bal tous les lundis soir
radio bal tous les lundis de 21h00 à 22h30
radiobal est en vacances et reprendra en septembre
bon été
merci à celles ou ceux qui le souhaitent, envoyez vos sons à diffusion@musicaouir.fr et nous les déposerons sur la Radio des Confits à Ouïr
Anne Montaron à l'improviste sur France Musique improvisations du quartet "ping pang "
RadioBalto sur Radiobal.fr émissions en direct le lundi soir de 21H00 à 22h30
musique improvisée et poésie en direct
aussi et aussi .....ateliers d'écriture le mercredi et samedi de 15h00 à 16h30 en conférence vidéo
lien skype : charolles1
Une série d'émissions sur l'hsitoire ouvrière depuis le 18é siecle : passionnant
avec la voixde Bernard Lavilliers et le chant d'Elise Caron
Colette Magny sur France Culture à écouter absolument
ici un lien vers un article fort intéressant
Gilles Boeuf "quand la nature scientifique prend la parole"
Marc Aurelle " comment rester droit quand tout s'effondre ? "
Max Roach / Tony Morrison : deux voix essentielles dans l'histoire contemporaine
on entend dans ce document Max Roach chanter ! c'est exeptionnel et très émouvant
c'est aussi l'histoire du peuple Afro-américain au 20é siecle
En 1994, le Festival d'Automne organise à l'American Center à Paris une rencontre entre Toni Morrison, Prix Nobel de littérature et docteur honoris causa de l'Université Paris VII, et le musicien de jazz Max Roach qui a porté au plus haut la voix des tambours et la pulsation intime des Africains-Américains. Entre deux improvisations à la batterie de ce dernier, la romancière américaine lit des extraits de son roman intitulé Jazz, écrit dans une langue d'une splendeur tumultueuse.
La scène de l’American Center est plongée dans l’obscurité, lentement une pulsation s’installe comme un cœur qui bat. Sans doute celui de l’Amérique noire. Puis des lumières aux tons cuivrés s’intensifient autour des cymbales qui marquent un tempo immémorial. Derrière sa batterie apparaît lentement la silhouette altière de Max Roach il chante…
Malgré le chagrin causé par Violette, on a avancé son nom à la réunion de janvier des Filles de Salem comme ayant besoin d’aide, mais elles ont voté contre parce que désormais seule la prière — pas l’argent — pouvait l’aider, parce qu’elle avait un mari plus ou moins valide (devant cesser de s’apitoyer sur lui-même), et parce qu’un homme et sa famille avaient tout perdu dans un incendie sur la 134e Rue. Le Club s’est mobilisé pour aider la famille incendiée et a laissé Violette définir ce qui n’allait pas et la façon de le régler.
Elle est terriblement maigre, Violette ; cinquante ans, mais encore belle quand elle a foutu en l’air l’enterrement. On croirait que se faire jeter de l’église c’était la fin — la honte et tout — mais non. Violette est assez dure et assez belle pour penser que même sans hanches ni jeunesse elle pouvait punir Joe en se trouvant un petit ami et en le faisant venir chez elle. Elle pensait que ça ferait sécher ses larmes et lui donnerait aussi quelques satisfactions. Ça aurait pu marcher, j’imagine, mais les enfants du suicide sont difficiles à séduire et croient très vite qu’on ne les aime pas parce qu’ils ne sont pas vraiment là." Toni Morrison, Jazz, extrait
Je leur envie cet amour public. Je ne l'ai moi-même connu qu'en secret, partagé en secret, et brûlé, ah, brûlé d'envie de le voir - de pouvoir dire tout haut ce qu'ils n'ont même pas besoin de dire : Que je n'ai aimé que toi, n'ai abandonné mon être entier qu'à toi et personne d'autre. Que je veux que tu m'aimes et que tu me le montres. Que j'aime la façon dont tu me tiens, dont tu me laisses venir si près de toi. J'aime tes doigts dans tous les sens, qui se dressent et se tournent. J'ai regardé ton visage pendant longtemps, tes yeux me manquaient quand tu te séparais de moi. Te parler et t'écouter répondre - c'est le pied. Mais je ne peux pas le dire tout haut ; je ne peux dire à personne que j'ai attendu ça toute ma vie et qu'avoir été choisie pour attendre est ce qui m'a permis de le faire. Si je pouvais je le dirai. Dirai fais-moi, refais-moi. Tu es libre de le faire et je suis libre de te laisser parce que regarde, regarde. Regarde où sont tes mains. Maintenant. Toni Morrison, Jazz, extrait
j'aiderai bien les Musiques
avec
En musique, on utilise les termes de souple, nerveuse, vive, puissante, légère, noble, moelleuse, veloutée, onctueuse, distinguée, gouleyante, enjouée, tonifiante… comme en cuisine.
Charolles Denis · de sable #1 et 2 la radio des confits à ouïr envoyez vos sons à diffusion@musicaouir.fr
Le thème de la danse avec le Bal des Musiques à Ouïr crée en 2019 nous a menés à réfléchir sur les raisons pour lesquelles le Bal rencontre toujours un fort engouement : Échange, espace, partage, écoute, regards, danse, territorialité.
Nous imaginons un prolongement à cette aventure avec Le Concert de l’Assiette « Fête à manger ». Une création organique nourrie de musiques et de bruissements à saliver, comme une fête à faire valser les sens. Nous la « nourrirons » lors des séances d'actions culturelles, des résidences de création, des rencontres avec biologistes, cuisiniers, chefs, artistes plasticiens. Hervé This, Muriel Habrard, Nils Thornander, Rodolphe Pottier.
Ce qui compose ce que nous mangeons, provenance, couleur, texture, tonalité température, acidité, fadeur...apporte une grande importance dans notre rapport à la vie. Outre les questionnements entre notre santé et la nourriture que nous mangeons, les manières de manger et de partager un repas comme les matières qui composent les plats que nous dégustons sont de vraies sources d’émancipation dans notre rapport à l’existence
compositions de textes et musique collectives
commande d'une pièce à Jacques REBOTIER
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Nous recherchons activement des partenaires, co-productrices, co-producteurs, acheteurs, mécènes.