Les Irrup'sons

Quelques images des Irrup'sons dansl'Orne ::
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A propos...

C'est par surprise (en accord avec le professeur) que les musiciens arrivent dans la classe. La musique entre alors de façon inattendue et permet à l'enfant de vivre un moment de découverte en émotion, rare et intense. L'enfant perçoit que la classe est aussi un lieu de surprise où il va vivre un moment riche en émotions sonores. Les musiciens jouent, improvisent, échangent musique et poésie avec les enfants, puis présentent leurs instruments.
Un moment de discussion et d'échange est possible.

Extrait de presse

L'INDEPENDANT - Valérie Pons 
La Musique s’invite par surprise dans huit classes du lycée Lurçat !
Saint-Gauderique.
Denis (Charolles) et Frédéric (Gastard) n’ont plus l’âge d’être lycéens, mais ils ont fait hier matin un sacré retour en « fanfare » sur les bancs de l’école ! Cette intervention impromptue (avec grosse caisse, saxo baryton, saxo léger, mélodica et tambourin) s’est en effet effectuée dans huit classes du lycée Jean-Lurçat dont seuls les professeurs concernés et le proviseur étaient au courant. Les trois musiciens, invités du festival Jazzèbre, ont accepté avec joie le principe, original et ludique, de se produire à chaque fois une dizaine de minutes auprès des élèves, s’amusant de leurs réactions et de leurs commentaires, une fois l’effet de surprise passé ! D’ailleurs, les ados étaient sidérés. Intervenant dans des classes de formation professionnelle (2è BEP, terminale, BEP, bac pro etc), notre trio s’est introduit au beau milieu des cours, devant les yeux ébahis et déclenchant les rires perlés des jeunes filles. Les garçons l’ont joué plus cool, presque blasé.
« Attentats musicaux ».
Ce premier « attentat musical » (une appellation à prendre au sens le plus nuancé s’est donc déroulé vers 10h 15, dans la classe de Mme Amar, bien entendu au courant. Ouvrant grand la porte, les musiciens se sont suivis à la queue leu leu, en jouant et en prenant possession de l’espace le plus naturellement possible. « Qu’est-ce-qui se passe ici ? » a lancé un une ado qui a sursauté aux premiers accords de batterie. « Super, de la musique en classe ! » a émis une autre.

Planqué derrière le rideau d’une cabine, Christophe s’est amusé à faire une impro au saxo tandis que Denis, muni de sa grosse caisse, s’est assis à côté des élèves, ravis. Ces derniers ont chaleureusement applaudi la mini-prestation de sonorité plutôt jazzy.
Morceaux adaptés.
Nos musiques se sont ensuite dirigées vers une autre classe – d’espagnol cette fois – où l’étonnement fut aussi grand. Improvisant un paso pour coller à l’ambiance, ils ont aussitôt déclenché une vague de « olé !» spontanée. Puis une salve d’applaudissements. Et la série s’est poursuivie de classe en classe. « C’est bien de donner aux jeunes un aperçu d’une musique différente de ce qu’ils entendent à la radio ou à la télévision » a souligné Fanny qui encadrait le trio musical. « On ne peut pas appeler ça une initiation (le temps est trop court), mais simplement une familiarisation aux instruments et aux sons ».

LE TELEGRAMME
Attentat musical au Guilvinec. Un succès fou…

Jeudi, à l’école Louise Michel, vendredi au collège Langevin, trois musiciens aussi déjantés que créatifs ont investit les deux établissements scolaires guilvinistes. Le grand secret avait été bien gardé par les deux directrices d’établissement mises dans la confidence, qui n’en ont soufflé mot.
Elles ont consenti avec bonheur à cette irruption musicale inédite. En catimini, les drôles de zèbres se sont introduits dans le plus grand secret, armés de notes et d’instruments en tous genres. Batterie, saxophones, accordéon ont poivré « l’attentat » suivi par Robert Seguin, directeur du CLC, et fauteur du joyeux trouble musical. Ravi, au moins autant que les enfants, de la blague et de l’effet produit.
Pour musiciens en herbe

L’instant de suffocation passé, car quel culot quand même de venir troubler un cours de français, ni une, ni deux, les crayons ont trouvé un nouvel emploi façon baguettes, les pots desdits crayons sont devenus instruments de percussion, tout comme les bureaux... Des sourires jusqu’aux oreilles pour un bonheur total…
Et ouverture sur les sons

« C’est quoi ça ? Un accordéon. Et celui-là ? Une trompette ?... Non, un bébé saxophone… » avant que le joyeux trio ne lance en fanfare le tube de Boris Vian à grand renfort de flonflons et une valse toute parisienne qui a déchaîné les enfants. Les graines musicales ont été bien plantées et, après ce joyeux délire, instituteurs et institutrices ont bien l’intention de les cultiver entre connaissance des instruments de musique pour les plus jeunes et approche de la musique du XXe siècle pour les plus âgés.

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